Le journal “Al-Bayan” a publié une declaration le jeudi dernier avec une photo du testament que Tamim avait écrite avant sa mort sur la page de couverture.
Le journal a écrit que le police de Dubai a trouvé dans l'appartement de Tamim après sa mort, un petit papier portant la phrase «Le mariage ou le meurtre» jointe au testament, ce qui a été ajouté au dossier remis au prosécuteur public.
Le journal a déclaré: La présence de ce testament écrit et signé par Susan et ce petit morceau de papier contenant les mots "Le mariage ou le meurtre" confirme que Susan était sûre qu'elle serait tuée, ce qui lui a fait écrire son testament et de l’apporter avec elle de Londres à Dubaï deux jours seulement avant sa mort.
Susan Tamim a écrit - selon le testament -: “Au nom de Dieu, le Miséricordieux .. Pour Dieu, nous viennent et à Lui nous retournons ..
J’ordonne que la propriété de tout mon argent, de tout mes biens, mes bijoux ou quoi que ce soit, aillent à ma mère et mon frère et personne d'autre, et je vous demande de payer le “Zakah” et de nourrir les orphelins et les pauvres, et de suivre le Serat droit (chemin) de Dieu, de me pardonner si je vous ai fais mal et que vous priez pour moi, et d'aller en pèlerinage si vous le pouvez”.
Elle a ajouté dans son testament qui ne comprend pas son père Abdel Sattar Tamim: “Frère, prend soin de votre mère et de votre famille, je vous demande miséricorde et pardon, de prendre soin de vos parents, Je vous aime et je vous demande de prier pour moi..Soyez uni et non divisé..la paix pour vous et nous, et pour Muhammad, sa famille et ses compagnons .. Suzan Tamim Abdel Sattar”.
La chanteuse libanaise a été tué après avoir reçue plusieurs poignardes dans différentes parties de son corps dans la matinée du 28 Juillet dernier dans son appartement dans une tour résidentielle dans la Marina de Dubaï, où la police a trouvé son corps après l'appel téléphonique de son cousin à la salle d'opération.
La police des EAU a réussi à résoudre l'ambiguïté de ce sujet dans quelques heures, aboutissant à l'arrestation du premier défendeur en Egypte, l’homme d'affaires Egyptien accusé d'inciter l'assassin à commettre son crime.